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dc.contributor.authorStaal, Nicholas-
dc.contributor.otherRoyal Military College of Canada / Collège militaire royal du Canadaen_US
dc.date.accessioned2016-07-21T11:53:07Z-
dc.date.accessioned2019-12-04T18:36:06Z-
dc.date.available2016-07-21T11:53:07Z-
dc.date.available2019-12-04T18:36:06Z-
dc.date.issued2016-07-21-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/11264/1041-
dc.description.abstractIn the past decade, real-time information and communications technologies (ICT) such as Twitter have created a new cyberspatial capability for state and non-state actors to compete for information dominance by conducting what can be called, borrowing from military parlance, Information Operations (IO) campaigns.  Because of the recent focus on insurgency and terrorist groups in countries like Afghanistan, Iraq, and Syria, media attention on the role of social media as a weapon of warfare has largely remained focused on non-state actors. However, a renewed hegemonic Russian presence in Georgia, Crimea, Ukraine, Syria, and elsewhere on the global stage invites us to consider how state actors are now using ICT to gain influence through social media.  Using the Russian-American war of words over the 21 August 2013 Sarin gas attack on Ghouta, Syria as a case study, and employing quantitative social network analysis and qualitative target audience analysis of some four million tweets over a four-week period, this thesis demonstrates how Russia succeeded in using Twitter as an effective IO weapon against the U.S..  It concludes that although there are some inherent limitations of the use of Twitter as an ICT IO tool, if properly planned for and deployed, its real-time messaging capability makes it a potent weapon for state actors wanting to project soft power in a modern world increasingly susceptible to the forces of online influence and persuasion. en_US
dc.description.abstractAu cours de la dernière décennie, les technologies de l’information et des communications en temps réel comme Twitter ont créé une nouvelle capacité cyberspatiale de lutte pour la suprématie de l’information entre des intervenants étatiques comme non étatiques, dans des campagnes qu’on pourrait qualifier, en jargon militaire, d’opérations d’information. En raison de l’intérêt suscité ces derniers temps par les groupes d’insurgés et les organisations terroristes dans des pays comme l’Afghanistan, l’Iraq et la Syrie, le rôle des médias sociaux comme arme de guerre a principalement été observé dans les interventions d’acteurs non étatiques. Toutefois, une recrudescence de la présence hégémonique russe en Géorgie, en Crimée, en Ukraine, en Syrie et ailleurs sur la scène internationale nous incite à nous pencher sur l’usage que font les intervenants étatiques des technologies de l’information et des communications pour se ménager une plus grande influence grâce aux médias sociaux. Ce mémoire présente une étude de cas sur la guerre des mots qui a opposé les Russes aux Américains au sujet de l’attaque au gaz sarin du 21 août 2013 contre la Ghouta, en Syrie. L’étude s’appuie sur une analyse qualitative et quantitative des publics-cibles des médias sociaux, en l’occurrence de quelque quatre millions de tweets sur une période de quatre semaines, pour démontrer comment la Russie est parvenue à utiliser efficacement Twitter comme arme dans ses opérations d’information contre les États‑Unis. La conclusion est que même s’il y a des limites inhérentes à l’utilité de Twitter comme technologie de l’information et des communications dans les opérations d’information, avec une bonne planification et un déploiement adéquat, la capacité de communication en direct de cet outil en fait une arme puissante pour les intervenants étatiques qui souhaitent exercer un pouvoir de velours dans un monde moderne de plus en plus soumis aux forces de l’influence et de la persuasion en ligne.en_US
dc.language.isoenen_US
dc.subjectTwitteren_US
dc.subjectSyriaen_US
dc.subjectRussiaen_US
dc.subjectUSAen_US
dc.subjectsocial mediaen_US
dc.subjectsocialen_US
dc.subjectinformation operationsen_US
dc.subjectAssaden_US
dc.subjectObamaen_US
dc.subjectcyberen_US
dc.subjectpropagandaen_US
dc.subjectpsychologicalen_US
dc.subjectamericanen_US
dc.subjectterroren_US
dc.subjectterroristen_US
dc.subjectisilen_US
dc.subjectsoft poweren_US
dc.subjectnetworken_US
dc.subjectnarrativeen_US
dc.subjectculturalen_US
dc.subjectonlineen_US
dc.subjectinfluenceen_US
dc.subjectpursuadeen_US
dc.subjectresonateen_US
dc.titleWar of the Tweets: An Analysis of American and Russian Information Operations on Twitter following the August, 2013 Sarin Gas Massacre in Syriaen_US
dc.typeTheses-
dc.title.translatedLa guerre des tweets : Analyse des opérations d’information américaines et russes sur Twitter à la suite du massacre au sarin d’août 2013 en Syrieen_US
dc.contributor.supervisorBelyea, Andy-
dc.contributor.cosupervisorHennessy, Michael-
dc.date.acceptance2016-06-03-
thesis.degree.disciplineWar Studies/Étudies sur la conduite de la guerreen_US
thesis.degree.nameMA (Master of Arts/Maîtrise ès arts)en_US
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